14 avril... veille du départ

Rien n'est prêt, j'ai une journée de retard sur ma préparation.

Je suis en plein grand ménage quand le livreur pour mes malles sonne : je me dis cool, une bonne chose qui va me libérer. Malheureusement, erreur dans leur commande au lieu de 2 malles de 65kg, ils ont 2 paquets de 32,5kg et comme il n'y a pas d'ascenceur (j'habite le 3eme etage), le livreur refuse de me prendre mes malles.

Je contacte la société que j'ai payé pour la prise en charge du transport porte-à-porte de mes malles qui me dit qu'il ne sont pas sûrs de pouvoir faire enlever les malles ce jour... après 1 esclandre téléphonique et 3 étages à porter moi-même mes malles avec le nouveau transporteur, mes malles partent pour l'entrepot du fret aérien... ouf !

Je suis juste dégoutée d'avoir passée ma dernière journée en France dans le speed et en étant d'une humeur massacrante avec mes parents qui sont arrivés pour m'emmener le lendemain à l'aéroport. Mille excuses à eux...

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